Ancienne infirmière, j’ai longtemps été adepte du cycle “symptôme-traitement”, ne portant l’importance que sur les conséquences du mal-être de mes patients, mais rarement sur la cause. De fait, j’ai constaté que beaucoup de pathologies causées par le stress par exemple, étaient traitées sans aucune remise en cause de la source même de ce problème, ne faisant que taire le corps pour pouvoir continuer et repousser nos limites toujours un peu plus. Comme si le stress ou tous les facteurs de risque liés à notre hygiène de vie occidentale étaient une fatalité, voir une norme, sur lesquels nous n’avions aucun moyen d’action, si ce n’est d’en traiter les lourdes conséquences sur notre corps.

Je me suis alors questionnée sur ce processus et ai fini par trouver des réponses auprès de personnes exceptionnelles, souvent dans l’ombre, et qui mériteraient pourtant que leur savoir soit d’utilité publique. 

Car non, le stress ne doit pas être une norme, il est surtout le cri d’alerte de notre être pour remédier à une situation qui nous étouffe. Les maladies de civilisation ne sont pas non plus une fatalité et ne sont que le reflet d’une évolution qui n’a plus de sens pour nos corps et notre organisme. 

Tout ceci m’a amené à mieux me questionner et à comprendre à quel point les thérapies dites “alternatives’ avaient plus que jamais leur place dans notre société actuelle.

Bien sûr, la médecine traditionnelle n’a pas à être remise en cause, mais notre comportement face à ce que nous infligeons à notre corps et à notre esprit, si ! 

Et des professionnels sont là pour nous en faire prendre conscience…